poison.

barthelemy rhodes ⠇âge, lieu de naissance un vingt quatre juillet, jour pluvieux d'un été trop chaud, quelque part entre Bali et les Maldives. ▪️ origines, nationalité t'as la double nationalité française et britannique. papa est un anglais, maman est une française de bonne famille. ▪️ emploi, situation financière (££££££), tu bosses au country club La Moye, ton père en est le digne propriétaire. tu y fais la pluie et le beau temps, abonné premium. ▪️ statut civil célibataire pour le bien être de la gente féminine. tu n'as jamais été assez stable pour entretenir une quelconque relation, tu joues de tes charmes à la perfection ceci dit.. ▪️ folklore familiale une photo de famille parfaite, quatre enfants tiré à quatre épingles et des parents souriants. sous le vernis parfait des rhodes se cache une pourriture nauséabonde. ▪️ à jersey depuis cinq générations. ▪️ traits de caractère charmant, tenace, colérique, bavard, instable, ambitieux, piquant, sarcastique, orgueilleux, borné, terrifiant. ▪️ groupe les locaux.

bonfire of the vanity
(UN) t'es issus d'une famille de quatre enfants, deuxième de la lignée. chez les rhodes les apparences sont de mises. des bonnes manières, aux polos ajustés des garçons en passant par les boucles parfaites des filles. tout est fait pour le paraître, la perfection aux yeux de la population. c'est un travail de longue haleine, mis en place depuis plus de dix générations. (DEUX) les rhodes ne s'aiment pas les uns les autre, mais les rhodes écrasent en groupe  pour arriver à leur fin. le seul but étant d'atteindre le sommet, encore et toujours. c'est une famille de requin et de serpents. hommes et femmes à la peau dure et au venin mortel.  (TROIS) t'es sans aucun doute l'enfant terrible. celui qui a toujours eu du mal à suivre les règles instaurées par le pater familias, parce que tu étais le préféré de ta chère mère, l'enfant chéri, le petit prince. alors tu en as toujours fais qu'à ta tête. (QUATRE) tu en fais toujours trop. tu ne sais pas faire dans la demi-mesure. tu ne te refuses rien et ce pour toutes les choses que tu serais à même de posséder. tu dépenses sans compter, tu es un sur-consommateur. toujours plus de champagne, toujours plus de voiture, toujours plus de tableaux de maîtres, toujours plus de femmes. comme si tu attendais patiemment l'overdose. (CINQ) t'as eu quelques démêlés avec la justice. jeune homme impulsif, tu as toujours eu des problèmes pour contenir la colère émanant de ton corps lorsque tu étais jeune. les billets furent allongés, et les soucis envolés. pour autant, tu restes un fauve sans état d'âme.



(seize ans) il est vingt deux heures, et tu bois ton troisième whisky. t'as déjà la tête qui te tourne, l'adolescent joue les hommes. se prend pour son père et ingurgite l'alcool comme s'il s'agissait d'une vulgaire eau gazeuse. mais t'as pas encore les épaules du patriarche, ni même sa descente impressionnante. il est vingt deux heures trente, et tu te dois de faire bonne figure au country club, comme à chaque fois que tu y mets les pieds. des sourires et des poignées de mains vigoureuses. le fils du gérant, le futur maître des lieux que tout le monde connait. tout tes amis sont là, sans exception. toutes les pointures de la ville sont là, et leurs progénitures également. tu joues les hypocrites, comme toujours. et tu continues à boire, assis sur un fauteuil confortable lui même posté sur la terrasse gigantesque, une vue surplombant la ville. les conversations sont inintéressantes et c'est sans doute pour ça que tu endors ton cerveau. « c'est vrai, ce qu'on raconte sur ta mère ? » t'arques un sourcil, tes yeux clairs se posant sur le jeune homme en face de toi. tu le connais, mais son nom ne te revient pas. d'un mouvement du menton tu lui ordonnes de continuer. « que c'est une salope que ton père à eu la gentillesse de ramasser. » et il ricane, ses sujets également -des mioches trop cons, des abeilles autour d'un pot de miel. et tu en fais de même, un rire diabolique s'échappe d'entre tes lèvres, un rire qui secoue chacun des muscles de ton corps. t'as les mâchoires serrées et le cœur qui bat la chamade, les oreilles qui bourdonnent et c'est la tempête au creux de ton bide. « tu sais à qui tu parles ? » que tu lances venimeux avant de lui envoyer ton verre vide en pleine figure, c'est le coin du cristal qui ricoche contre son arcade et t'es déjà debout, t'as saisi le col de sa chemise Dior et tu lui assènes un coup de boule qui te filera la migraine. le gosse s'effondre et t'es déjà à califourchon sur lui, le poing serré qui fonce sur son visage tel un parpaing. tu cognes, encore et encore. tu vois rouges, tu n'entends pas ce qui se passe autour de toi et tu résistes quand on t'attrape pour te forcer à lâcher le corps devenu inerte. tu grognes quand on te force à te relever. t'as les phalanges défoncés, autant que son visage tuméfié. tu passes une main fébrile dans tes cheveux, et un sourire satisfait se dessine sur tes lèvres quand tu tournes les talons. t'en as rien à secouer des visages choqués, des filles en pleurs et des parents outrés. on t'a appris à défendre ton honneur.
c'est ton père, sous les conseils avisés de ta mère, qui a signé un chèque conséquent pour étouffer la dite affaire.

wx, prénom ⠇âge, lieu de résidence vingt cinq ans, SUD de la france. ▪️ avatararthur gosse. ▪️ type de personnage inventé. ▪️ commentaires, autres ▪️ crédits tumblr.

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<i>arthur gosse</i>, Bart Rhodes. (15/04)