| Sujet: it's in the eyes – martin Mer 11 Avr - 16:28 | |
| martin hebert - my nightmare is always the same. i scream.. and there’s nothing coming out. - martin louis hebert ⠇âge, lieu de naissance voilà trente-trois années que le garçon tente de vivre une vie plutôt normale. et plus de la moitié de sa vie, il l'a passée dans sa ville natale française, biarritz. martin, il est né avec le sable sous les pieds et le grand bruit des vagues. il a été bercé comme ça, martin. ▪️ origines, nationalité on ne peut pas faire plus français que ce cher martin. il ne jure que par des "putain" ou des "merde", parce qu'il aime jurer par dessus tout, le vilain. martin, il sait qu'il ne pourra jamais renier ses origines, ni opter pour une autre nationalité. c'est un patriote dans l'âme le gamin. ▪️ emploi, situation financière (££), il a toujours été de ceux qui combattent pour leur patrie. ou pour aider les autres. martin, c'était ce soldat courageux qui n'avait pas peur de partir en première ligne. puis, il a déraillé, il a perdu pied, et il s'est retrouvé dans la paranoïa type du guerrier. maintenant, martin, il est agriculteur, fermier, en bref, un homme de la terre. ▪️ statut civil louise qui lui a brisé le coeur, louise qui est partie. elle n'a pas donné de vraies raisons, alors martin il se les ait faites lui-même. le résultat en est qu'il est plus seul que jamais. ▪️ folklore familiale sa mère décédée après la naissance du petit-frère et dont il a été privé à ses trois ans, un père prof de surf avec qui les relations sont plutôt bonnes. et son frère, son petit frère, la prunelle de ses yeux. ▪️ à jersey depuis deux ans, mars 2016. ▪️ traits de caractère observateur, discret, mystérieux, courageux, déterminé, réaliste, travailleur, têtu, charitable, généreux, spontané, franc, solitaire. ▪️ groupe outsiders.
bonfire of the vanity– un – martin, c'est le type français de base issu d'une famille modeste, né sur la côte ouest. biarritz, c'est sa ville natale, mais aussi un nom imprononçable pour ces anglosaxons. martin, il avait l'habitude d'aller sur la plage, de laisser le vent brasser ses cheveux et entre ses mains, il tenait ce petit calepin si précieux qui le suivra encore aujourd'hui. martin, il n'était pas de ceux qui surfaient, parce qu'il n'y trouvait pas vraiment de plaisir, mais l'océan, ça a toujours été sa source d'inspiration. ce serait mentir que de dire que cette petite ville ne lui manque pas. un jour, martin, il sait qu'il y retournera. – deux – martin, il aime sa famille, et plus que tout. son père, son frère, et sans oublier sa défunte mère décédée à ses trois ans alors qu'elle donnait naissance au petit frère. mais martin, il aime aussi avoir sa liberté, son indépendance et sa solitude. oh oui, martin c'est un gros solitaire mais avec le coeur sur la main. loin d'être égocentrique, narcissique et tout ce qui peut se rapporter à lui. martin, il aime juste pouvoir se retrouver avec lui-même, même si aujourd'hui, c'est plus effrayant qu'autre chose. – trois – martin, il n'a jamais été un élève modèle, il n'a jamais trop su se plonger le nez dans les cahiers. en fait, ça l'ennuyait. lui, il a toujours eu besoin de bouger, de faire quelque chose de ses mains. l'école, martin, ça ne l'a jamais attiré. alors il a trouvé sa vocation. c'est de la plage qu'il voyait les avions de chasse de l'armée. ils refletaient même dans l'eau. c'est là que martin s'est dit qu'il devait servir son pays. alors il est parti à l'armée, avec son baluchon, et sans jamais se retourner. il n'a jamais eu peur du destin, parce quelle mort peut-être plus belle que celle d'un soldat mort au combat ? alors martin, il a toujours combattu avec hargne et fierté, toujours prêt à remotiver ses frères de patrie. là-bas, il en a fait de belles rencontres. puis il a aussi souffert du départ de certains, mais c'est ça, l'armée. porter un flingue, tirer sur sa cible, sauver des vies, mais aussi en perdre, et perdre la tête. c'est ce qui lui est arrivé, à martin. tétanisé, il n'a plus voulu appuyer sur la gâchette. non, ce n'est pas lâche, c'est simplement que sa carrière était arrivée à terme. un homme rongé par son métier, mais sorti plus grandi que jamais de toutes ces années passées à combattre. – quatre – il a quitté l'armée, sans savoir quoi faire ensuite. de toute façon, il était trop mal en point pour faire quoi que ce soit. martin, il avait l'impression d'entendre des tirs à tout va, et le moindre bruit suspect le faisait se coucher à terre. un traumatisme qu'il a bien du mal à fuir, encore aujourd'hui. des cauchemars à répétition, le manque de ses frères d'une autre mère. alors aujourd'hui, martin, il évite de sortir parce qu'il ne sait jamais comment il peut réagir. il évite les mouvements de foule, il évite le trop plein de contact. il fuit la société. – cinq – à l'époque, martin avait le cœur pris par la douce louise. une française connue durant son enfance, dont il a toujours été très amoureux. jusqu'au jour où cette dernière l'a lâchement abandonné alors qu'il venait juste de poser les armes. elle l'a laissé avec ses démons, elle l'a laissé perdu et sans défense, quand il avait le plus besoin d'elle. elle lui a brisé le cœur. martin, il est réticent à l'amour, et c'est uniquement la faute de cette louise. – six – martin, lisant le journal, tombe nez à nez avec cette annonce. la clé du renouveau, son échappatoire. ce fermier, à la recherche d'une aide extérieure. un fermier français exilé sur l'île de jersey, en charge des terres de la famille hewitt. alors, martin se dit pourquoi pas et plie bagage en deux secondes. il se retrouve donc, les mains vides, sur l'île, prêt à débuter une nouvelle vie. une façon pour lui de fuir son passé, de se débarrasser de ce qui lui fait le plus de mal. martin, il a voulu reprendre sa vie en main, loin de son quotidien, loin de biarritz et ses souvenirs. le voilà alors fermier depuis deux ans maintenant, à remuer la terre, à s'occuper du bétail. il y prend un malin plaisir, et puis il l'aime bien ce vieux paul. – sept – martin, c'est le type un peu rétro. il ne vit pas tellement avec son temps. les nouvelles technologies, ça ne l'enchante pas vraiment, il a juste un vieux portable. c'est aussi le type à écouter de vieilles chansons, à ne pas avoir les dernières fringues à la mode, à porter un chapeau et à se laisser pousser une moustache. martin, il se contente de ce qu'il a, de peu, et n'envie jamais les grosses familles riches de l'île. les grosses maisons, les grosses voitures ... lui, il préfère la colocation avec paul et son vieux pick-up. – huit – martin, il est un inconditionnel amoureux de la nature. rien que les champs lui procurent un sentiment de bien-être inégalable. les arbres, la verdure, il adore, mais ce qu'il préfère, c'est le silence de cette nature. des bruits naturels, comme le craquement des feuilles, des branches, le bruit de l'eau. alors souvent, martin il s'évade un peu dans l'arrière-pays de l'île, il visite, il s'aventure. il ne pourra jamais mettre de côté ce tempérament de brave homme, mais aussi de l'homme curieux. comme il ne pourra jamais rester les mains dans les poches une journée entière, à ne rien faire. – neuf – le fameux carnet de croquis qu'il a depuis son enfance. son bien le plus précieux. il l'a emmené à la guerre, il l'a toujours sur lui, dans la poche avant de sa chemise. le petit crayon qui va avec, crayon à la mine épuisée mais qui peut encore gribouiller. il dessine ce qu'il voit, ce qu'il trouve beau. il s’intéresse au naturel et à ce qui le charme. à travers ces pages, on peut bien voir l'évolution de son coup de crayon, mais c'est un secret bien gardé. il n'aime pas montrer ce qu'il fait, parce qu'il est mystérieux martin. – dix – son petit-frère, celui avec qui martin parle le plus, se confie un peu plus. il a beau ne pas être à ses côtés, martin ne peut jamais passer un jour sans penser à son égal, trois ans plus jeune. eux deux, ça a toujours été une relation très forte, une relation que personne ne peut réellement comprendre. martin aime toujours lui parler de sa mère, parce qu'il aurait voulu qu'il la connaisse. il aurait voulu qu'il passe du temps avec elle, comme lui a pu en passer durant les trois premières années de sa vie. comme si martin voulait lui redonner vie. aussi, il se remémore souvent les bons moments passés avec le benjamin. des journées à vagabonder sur la plage, et puis un peu partout. n'importe où où ils pouvaient aller, ils y allaient. c'est ce qui lui manque le plus à martin, son petit frère.
bluefire, ⠇âge, lieu de résidence 22 ans, ouest toute de la france. ▪️ avatar garrett hedlund. ▪️ type de personnage inventé. ▪️ commentaires, autres ▪️ crédits fygarretthedlund (tumblr).
- Code:
-
<i>garrett hedlund</i>, Martin Hebert. (16/04)
Dernière édition par Martin Hebert le Jeu 12 Avr - 20:19, édité 8 fois |
|
Vera Altmanback to december all the time.
Posts : 330 Pseudo : rivendell, lucie. Id Card : vikander | av@mine, sign@tumblr. Age : twenty-eight years old. Civil status : she's recovering from her old relationship, but she's in love with the wrong person. Past time : book editor. Address : la pulente, jersey. the social break ⊳ hit list: ⊳ role play: french only. ⊳ availability: available / eden, elias. | Sujet: Re: it's in the eyes – martin Mer 11 Avr - 20:12 | |
| ohlala, garrett. il est tellement rare. Bienvenue parmi nous, et je te le réserve pour cinq jours (jusqu'au 16 et non le 17 ) :heart ! |
|